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Les P'tits Mythos,Thésée dans le labyrinthe du Minotaure

Spectacle jeune public à partir de 6 ans

 

par et avec Vincent Marguet et Géraldine Szajman

Création musicale : Flonia Kodheli

Scénographie : Stanislas Peurière

Création Lumiére : Dory Nacibide et Yannick Dap

Collaboration artistique : Fanny Santer et Yasmine Nadifi

 

Nous avons souhaité faire revivre la tradition orale des mythes grecs, légendes qui font partie intégrante de notre culture... Partie intégrante de notre quotidien, de nos expressions, car si on est fort comme Hercule, c’est bien parce-que tout le monde connait Hercule sans jamais l’avoir rencontré; et si on prend le taureau par les cornes, c’est bien parce-que le héros Thésée l’a fait avant nous.

Ce qu’il y a de passionnant à réinventer ces grands textes, c’est que chacun selon son âge est touché à sa façon. Le propos est tellement ancien qu’il en devient de lui même universel. Le scénario est complet: il contient toute la violence, la tendresse, la farce et l’amour de l’humanité!

L’histoire de Thésée nous inspire des thèmes propres à l’enfance: l’envie de grandir, vite, la peur et la découverte de l’inconnu, le voyage initiatique...Notre projet de spectacle jeune public souhaite parler aux enfants de 6 à 12 ans, des enfants de l’école élémentaire, des adultes en devenir, qui apprennent jour après jour à être des acteurs de leur vie, responsables de leurs gestes, de leurs paroles, de leurs actes et surtout de leurs choix.

C’est certainement le message, l’idée motrice qui traverse les siècles depuis que l’humain se raconte des histoires, transmet des mythes et des légendes de génération en génération.

Ce qu’il y a de passionnant avec le monde de l’enfance, c’est le pouvoir simplissime de l’imaginaire. La scène de théâtre devient grenier contenant tous les objets nécessaires à notre mise en scène: des couronnes en papier, un décor de carton, un drap devient une robe de princesse, un tissu blanc réinvente l’espace et le temps...

Le théâtre est en soi pédagogique... Et ici notre théâtre est ludique et spectaculaire! burlesque, imagé, poétique et démocratique! Il intègre le public; les enfants spectateurs deviennent ainsi les compagnons de voyage de Thésée, débarquent en Crête pour combattre le Minotaure.

Comme si le spectateur accomplissait un voyage initiatique, tel un héros grec...

 

Plus de 100 représentations entre 2012 et 2015: Comédie Tour Eiffel, Théâtre de la Jonquière, Petit théâtre de la Bouloie (Besançon), Théâtre Roger Lafaille à Chennevières sur Marne…

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La contrebasse

De Patrick Süskind

Mise en scène :  Vincent Marguet

Avec Gilles Hoyer

Scénographie :  Aurélie Lemaignen

Collaboration artistique : Pascal Straub

 

Ce spectacle a remporté le P’tit Molière du Meilleur Seul en scène (1ère édition des P’tits Molières 2013)

 

Un contrebassiste nous donne rendez-vous chez lui pour faire l’apologie de son instrument, élément essentiel de l’orchestre. Mais l’éloge se transforme en désastre, le musicien accompli en désespéré face à lui-même, le public en confident et le salon du contrebassiste en théâtre! Finalement, un endroit, un moment où tout peut arriver… Une valse, en scherzo, du Wagner, une symphonie d’humour mordant et corrosif. Au-dessus du gouffre de l’humain, un homme joue sa

vie et sa folie de contrebassiste sur le fil, et passe à la rive de la métaphysique où plane la musique.

 

« Je connais des gens qui ont en eux tout un monde, un monde immense. Seulement ça reste enfoui, on n’exploiterait pas ça pour un empire. Mais enfin, c’est un détail…» Patrick Süskind

Claus Peymann et Hermann Beil

de Thomas Bernhard

Traduction de Claude Porcell

L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté

 

 

Mis en en scène et interprété par Fanny Santer et Géraldine Szajman

Collaboration artistique Vincent Marguet

 

 

Claus Peymann, directeur du Burgtheater à Vienne, et son dramaturge Hermann Beil sont assis sous un tilleul en fleurs et mordent dans des escalopes viennoises froides… Une comédie sur le pouvoir, le pouvoir «artistique» jouée par un Don Quichotte accompagné de son Sancho, clown trottinant tant bien que mal à ses côtés. Ces grands hommes, ces visionnaires se heurtent à la bureaucratie, à l’échec de leurs tentatives, à leurs angoisses. Comment jouer tout Shakespeare en un seul soir? Comment détruire un théâtre avec une seule pioche? Comment tenter le sauvetage de l’existence en une seule escalope? Deux interprètes femmes, deux comédiennes jouent ces deux hommes de théâtre, recréent la fiction imaginée par un auteur, s’accaparent et mettent en scène leurs rêves, leurs doutes, leurs ambitions.                              

Cette forme courte est le premier volet d’un triptyque mettant en scène deux autres «farces», deux autres «piécettes» du même auteur…     

 

 

“Ce qu’il faudrait ce serait mettre en scène toutes les pièces de Shakespeare en même temps”          

                                                                                                                                           

 

Présentation de maquette en avril 2012 au Théâtre de verre

Représentations en novembre 2012 dans le cadre du festival Péril Jeune à Confluences-Paris

Représentations en mars 2014 à la Générale 

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